Emission « Paroles d’écriture », sur Agora FM du 23 octobre 2015

Invitation: rencontres sur l’Arménie

Marc Girard nous invite aux prochaines rencontres auxquelles il participe, sur l’Arménie:

RENCONTRE-DEDICACE sur l’ARMENIE le Samedi 14 Novembre 2015, à la Bibliothèque- Médiathèque de NOZAY- Nord LOIRE ATLANTIQUE:

  • Projection d’un diaporama de présentation de l’Arménie.
  • Débat et réponses aux questions.
  • Dédicace
  • Pot
    En présence de:
  • Josiane BOULOGNE, Vice-Présidente de l’association « Menez Ararat »
  • Marc GIRARD qui dédicacera « Chaleureuse Arménie » et « Arménouhie »
  • Viktorya HERLIN (jeune arménienne, originaire d’Erevan)

RENCONTRE des ACTEURS ASSOCIATIFS de « SOLIDARITE SANS FRONTIERE »- le 19 Novembre 2015 à partir de 17h15 à l’HOTEL du DEPARTEMENT de LOIRE-ATLANTIQUE (Nantes)

  • Conférences, avec Nathalie DUPONT, responsable du pôle animation du Plaidoyer de Coordination SUD-Solidarité urgence développement et Astrid FREY, Chargée du pôle « climats et environnement » de Cités unies France.
  • Table ronde: « Coopération internationale et environnement: Comment les différentes formes d’engagement à l’International contribuent-elles à un développement durable? »
    En présence d’associations de LA, lauréates de « Solidarité sans frontière 2015 » dont l’association « Menez Ararat » pour son projet « adduction d’eau potable au village d’Antaramej, en Arménie »
                           L’association Menez Ararat sera représentée à cette manifestation par  (entre-autres) Josiane BOULOGNE et Marc GIRARD

« Scènes de ma vie », de Franz Michael Felder, Verdier éditeur, 2014

Jacques Chauvin nous informe:

Felder, paysan, poète et réformateur autrichien écrivait au XIX° siècle (1839-1869). Paru pour la première fois trente-cinq ans après la mort de l’auteur, Scènes de ma vie, a été sorti de l’oubli par Peter Handke, rédacteur de la préface pour la réédition du livre en 1987.

« Jusqu’alors, dans toute l’histoire de l’Europe, […] analyse Jean-Yves Masson dans sa postface, jamais une de ces vies minuscules auxquelles Pierre Michon a voulu rendre justice, ne s’était racontée en première personne avec une telle fermeté, en atteignant d’emblée, dès les premières phrases, à l’universalité que seul confère un usage vraiment littéraire de la langue. […] C’est la nature proprement littéraire de son entreprise qui est sa victoire ».

http://aliette-armel.blogs.nouvelobs.com/felder-franz-michael/