René Prestat expliquant avec passion son travail de sculpteur à René Houlé (2008)
C’est avec une infinie tristesse que nos pensées se tournent vers sa famille si cruellement atteinte.
René était notre ami comme il était l’ami de tous: des êtres humains dans leur globalité mais des enfants surtout, des animaux et tout particulièrement des chevaux, de la nature et de cette Terre nourricière si malmenée à laquelle il dédiait sa dernière oeuvre en cours.
Il portait sur le monde un regard d’enfant, aussi pur qu’émerveillé et lorsqu’il nous parlait de ses œuvres, c’est un grand poète qui s’exprimait, avec cet humanisme, cette sensibilité et cette délicatesse qui le caractérisaient et qui nous fascinaient.
Son départ brutal est une grande perte pour notre association et pour l’Humanité. Heureusement son oeuvre colossale continuera à témoigner de la beauté du monde et de l’amour universel.
Le journal « La vie agricole », vient de publier un article d’Alexie Valois sur Marcel Grelet. Une occasion pour l’AEAP de remercier Marcel de s’acquitter avec sérieux et efficacité de sa tâche de secrétaire de notre conseil d’administration, tout en se consacrant à ses travaux d’écriture et à ses cultures potagères. A bientôt pour un prochain roman.
Court billet aujourd’hui car j’étais en vadrouille ce WE ! J’ai une nouvelle chanson, mais qui a besoin de retouches, donc je ne vous la montre pas déjà. Na! Et désormais, je pense passer à un billet mensuel, ce qui me permettra (peut-être) de fignoler un peu plus. J’ai des propositions à vous faire, qui me semblent intéressantes, mais je ne trouve pas les enregistrements que je souhaite.
Je vous propose aujourd’hui « Chanson Plus Bifluorée » avec « Général à vendre » de Francis Blanche. Ce groupe, composé de quatre chanteurs au départ (trois, maintenant) a pastiché de nombreuses chansons françaises. Il est considéré comme l’héritier des « Frères Jacques », avec de grandes qualités vocales et scéniques.Vous pouvez bien sûr aller voir d’autres œuvres comme « Le moteur à explosion » ou « Aimé » etc… Par les temps qui courent, les chanteurs » à voix » n’ont plus tellement voix au chapitre, dommage !
Nous apprenons avec grand plaisir que l’écrivain paysan Michel Pontoire vient de publier un nouveau recueil de nouvelles aux éditions Exaequo. Toutes nos félicitations et beau succès au nouveau-né. http://www.ecrivains-paysans.com/staff/michel-pontoire/
Ce recueil offre une succession de tableaux ayant pour cadre commun le Bassin de la Gravelle. La Gravelle n’est rien de plus qu’un modeste ruisseau – discret trait d’union entre les hameaux d’une région à habitat dispersé. Tour à tour protagonistes ou comparses, les personnages hauts en couleur de ce microcosme pastoral se croisent au travers d’intrigues insolites. On les sent soudés par les mêmes qualités humaines, pelotonnés autour de valeurs ancestrales. Cependant, les premiers tracteurs pétaradent, le remembrement menace, engrais et pesticides s’imposent, des stabulations s’implantent… Le machinisme agricole frappe aux consciences des « gens de la Gravelle ». De nébuleuses perspectives de gains germent comme une mauvaise ivraie. La sensibilité aux profits immédiats tend à se substituer au conformisme prudent et respectueux. La communauté paysanne jusque là monolithique risque de se fissurer. Heureusement, les garants d’un conservatisme sacro-saint semblent vouloir, le temps de ce recueil, demeurer à l’écart du courant qui, pourtant, s’immisce inexorablement.
Notre artiste paysan Hervé Treuil, par ailleurs président de l’Association des Artistes du Bas-Limousin, nous invite à parcourir cette exposition virtuelle: http://artistes-du-bas-limousin.com
Billet N° 13 aujourd’hui ! Comme le temps … Je vais bientôt être à cours de chansons neuves, pourtant, j’ai souvent sous le coude, un début de texte ou quelques mélodies qui me plaisent bien, alors, pour ne gâcher ni l’un, ni les autres, je ne renonce pas! Cela me rappelle un vieux voisin qui fumait du « gris » et qui voulait arrêter, mais il lui restait toujours un peu de tabac ou un peu de papier à cigarette, alors, pour ne point gaspiller la marchandise, il rachetait le produit manquant ! Il est mort depuis longtemps, mais je crois bien qu’il fume encore!
Je vous joins donc une chanson qui mélange les genres puisqu’elle se prénomme « Photo », texte tout nouveau qui parle d’une photo âgée…
Je me permets aujourd’hui, de vous recommander Bernard Joyet. C’est certainement une des plus belles plumes de la chanson contemporaine (il est parolier de Juliette notamment). Il a fait beaucoup dans l’humour et le grinçant à ses débuts, formant un duo avec Roland Salomon (Joyet et Roll Mops !), puis, seul en scène, il se fait accompagner au piano par jean-Louis Beydon ou Nathalie Miravette. Il semble écrire sans retenue et attaque stylo bille en tête! C’est « efficace » et plutôt mordant!
(voir « Le gérontophile » ou « Ma bible » !) Je vous propose une chanson plutôt « sérieuse » (comme si elles ne l’étaient pas toutes, à condition d’être de bonne facture!) . Il s’agit de « Rien s’en va« , petit clin d’oeil à Léo Ferré.
Portez-vous bien et à bientôt .
Michel
PHOTOS
C’est une photo bleue Mais ce n’est pas la mer, On y voit juste un peu Que c’est un peu l’hiver. Il y a des chapeaux Et de grands châles gris, Il ne fait pas très beau, Le ciel est tout petit. On y tient par la main Des enfants étonnés, Et qui cherchent en vain A sortir du cliché. Quelques sourires blancs, Figés dans leur envol, Hésitent dans le vent, Puis tomberont au sol. La grille du jardin Encercle des couleurs Et des flots de parfums Dans des vagues de fleurs Qui roulent. La marée Les pas sont arrêtés, Mais on entend, tout bas, De vagues mots blessés Qui courent. Des soldats Avec leurs gros sabots, Par là, seraient passés Et les petits chevaux De bois, le sont restés ! Le chemin a tremblé, La grille du jardin, Un peu plus qu’à l’été, A grincé quand ces chiens Ont pointé leurs museaux. On voit, malgré le temps, Au bord de la photo… Les marques de leurs dents. Sera forte demain Et fera des jonchées De pétales aux chemins.
« On » m’a fait remarquer que j’ai peu proposé dans mes petits billets, l’écoute de chanteuses ; en effet, sur les onze numéros, il n’y a eu que Danièle Messia. Il y a eu aussi « Les enfants terribles » (billet N° 3) mais c’était un groupe mixte. Je vais essayer de rattraper l’affaire, sachant qu’il y a moins, me semble-t-il, d’autrices-compositrices que d’auteurs-compositeurs, et que c’est plutôt dans ces catégories que mes propositions sont orientées. Aujourd’hui, il y a, je pense, une éclosion de nouvelles chanteuses intéressantes et un renouveau dans l’écriture, mais je constate que les ingénieurs du son se font un malin plaisir à couvrir leurs voix par la musique qui est pourtant plus fine et élaborée qu’il y a quelques années! J’ai essayer d’entendre Jeanne Cherhal par exemple, ce fut laborieux!
Donc, pour l’instant, je reviens aux grands « classiques » avec Anne Sylvestre et
« La faute à Eve » . De mon côté, je vous propose une chanson récente « Je m’ennuierai »
Portez-vous bien et à bientôt.
Michel
JE M’ENNUIERAI DEMAIN Michel Boudaud Je m’ennuierai demain (2) Si tu ne reviens pas (2) Dans la cour des voisins J’ai entendu des pas Mais des pas de quelqu’un Que je n’attendais pas Des pas soudains, Des pas à pas, Mais pas les tiens, Mais pas déjà. Si un jour tu reviens (2) Je ne serai plus là (2) J’aurai dans mes refrains Chanté ta vie en fa En femme de marin Qui aurait tendu la Voile de lin Sur mon trois-mâts, Entre mes mains, Entre mes bras… Je m’ennuierai demain…
Nous voilà rassurés : le festival est maintenu sauf…
Déjà six écrivains paysans, ont manifesté leur souhait de venir participer à ce grand débat d’actualité sur un Nouveau monde, dans lequel la place du paysan devrait être au centre du développement. Voir ci-dessous la présentation officielle:
LE FESTIVAL DU LIVRE DE MOUANS-SARTOUX AURA LIEU LES 2-3-4 octobre 2020
Une 33e édition sur le thème : NOUVEAU MONDE ? Que de questions surgissent dans notre esprit à l’évocation d’un nouveau monde ! Optimistes ou pessimistes, idéalistes ou réalistes, rêveurs et lucides, nos invité.es débattront avec le public’ avec vous, du monde idéal, du monde possible. Entre pragmatisme et idéalisme, le forum d’idées qu’est le festival du livre retentira de toutes les propositions, de tous les rêves, de toutes les idées d’avenir. Ce thème avait été défini avant le covid, il prend encore plus de sens aujourd’hui ! Entretiens, débats, films, spectacles, dédicaces, seront au programme. Ce sera un FESTIVAL RÉSOLUMENT SOLIDAIRE après ces mois de confinement et de d’angoisses. Solidaire avec la chaîne du livre : gratuité des stands pour les libraires, éditeurs, exposants, associations, qui ont subi des pertes économiques, Gratuité d’entrée pour le public ! En remerciant nos partenaires publics et privés qui nous le permettent. Et nous serons tellement heureux de retrouver les autrices et les auteurs que nous aimons tant ! Une belle liste d’invité.es est déjà là , que nous vous livrerons peu à peu … Heureux de nous retrouver aussi car ce seront des retrouvailles dans la joie ! Prenez date, 2-3-4 OCTOBRE 2020, le 33e FESTIVAL DU LIVRE DE MOUANS-SARTOUX ! Aimez et Partagez sans modération !
Aujourd’hui, avec ce temps sec, je le suis un peu aussi, donc je vais vous parler de … l’eau, celle des rivières et des fleuves. J’aime beaucoup les cartes du pays où l’on voit presque exclusivement les cours d’eau, comme des veines de bras; D’ailleurs, on dit un bras de rivière ou de fleuve . Le graphisme est très beau et répond , évidemment à d’autres logiques que celles des routes et, celles-ci semblent les respecter, en les enjambant souvent de façon majestueuse. Les canaux, pourtant fabriqués et rectilignes,
dégagent quant à eux une grande impression de sérénité! C’est vrai qu’ils sont plutôt désertés et que l’eau y est dormante.
Gustave Nadaud, en 1858, écrit ce curieux poème « Si la Garonne avait voulu » que Julos Beaucarne a mis en musique et chanté dans les années 80. C’est assez désuet mais bien rafraîchissant !
J’y joins une de mes dernières chansons qui parle de la Loire de façon plutôt symbolique, si je me comprends bien !
Bonjour à tous Déconfinés ou pas « on » me dit de continuer mon petit mot hebdomadaire, alors, tant que j’ai des choses à dire et des propositions à faire, réduisons la distanciation asociale! Dans mon billet précédent, j’évoquais le fait que, la plupart du temps, les reprises de chansons me semblaient bien inférieures à la version originale .Jacqueline Bellino me fait remarquer que « Nina Simone » dans « Ne me quitte pas » est plutôt poignante, ce qui est tout à fait vrai, et que Allwrigth reprend Cohen, mais il y a traduction, donc, un certain « renouveau ». On trouvera bien sûr des exceptions (Joan Baez par exemple, mais quelle pointure!). Il me semble que les chanteurs à interprétations fortes sont quand même difficiles à « reprendre » sans qu’il y ait tendance à l’imitation ou à du » rien de nouveau! » Pensez à Ferré et surtout, à Brel et Barbara (Bruel avec Barbara c’est quand même bien fade! ). Maintenant, il faut faire au mieux pour que les chansons continuent à vivre et à nous faire vivre . Je voulais aborder aujourd’hui un sujet qui me tarabuste!!! J’espère arriver à me faire comprendre. J’aime beaucoup les chansons « ouvertes », où Il y a, par touches, évocation d’une scène, d’un paysage, d’un ressenti, sans trop de précisions historiques ou géographiques. En tant qu’auditeur, je me sens « invité » à vivre dans la chanson, et presque à l’écrire en même temps qu’elle se déroule. Je m’avance vers elle, en elle, je me sens impliqué parce qu’elle s’ouvre sur de nombreux « possibles » et sans doute aussi, parce qu’elle parle des (et aux) gens du peuple dont je suis… Elle me laisse le temps et le droit de me forger une opinion ,de conforter une vision des choses . Je me sens respecté et suis plus apte, à ce moment, à entendre une opinion forte ou un coup de gueule de l’artiste, parce qu’il aura pris le temps de me mettre dans « son » histoire et son coup de gueule sera le mien ! A contrario, quand un artiste attaque d’emblée ou presque l’analyse d’un fait ou d’une histoire qu’il n’a qu’à peine effleurés, j’ai tendance à me recroqueviller dans mon fauteuil, en écoutant un « technicien » qui s’adresse plus à mon intellect qu’à mon émotion! Et, jusqu’à preuve du contraire, on va voir des artistes pour voir du beau (définition du dico) pas pour recevoir un cours de quelqu’un qui a fait sans doute quelques années de fac psycho-socio etc… et se permet de « partager » sa science tout en se parfumant du titre « d’artiste » . Je n’ai pas de nom sous la main et ce n’est évidemment pas le but de ce papier, mais j’entends souvent ce genre de « choses » sur les radios (nos radiographies en direct !). Si je veux me former, me cultiver sur un sujet quelconque ou pas quelconque du tout, j’ouvre un livre ou je vais à une conférence où je pourrai même poser des questions pour avoir des précisions voire manifester mon désaccord. Et, souvent, le conférencier est aussi un artiste en son genre ! Maintenant que j’ai dit çà, il faut que je me méfie de ce que je vous propose ! J’ai droit à quelques jokers? Aujourd’hui, chanson toute simple d’un chanteur très attachant : Bernard Haillant, qui m’a fait travailler (un peu) en stage à la Sainte Beaume en 1981!!! Et ma chanson est en texte seulement, c’est « Bois flotté » ,souvenirs en vrac du passé rural. Merci de votre attention et à bientôt! Michel B. https://blog.ecrivains-paysans.com/wp-content/uploads/2020/05/Bois-flottés-1.pdf
Bonjour à tous Enfin la fin, enfin, j’espère ! Il faut peut-être se réhabituer doucement à la « liberté » pour la savourer davantage, et l’emprisonner en nous, pour de bon !!! Je vous espère tous en bonne santé . Dans mon billet N° 6 du 27 Avril, je vous recommandais le poème de Marceline Desborde-Valmore, mis en musique par Julos Beaucarne, et je me-vous demandais qui en était l’interprète; L’ami-chel Boutet m’a suggéré « Marie-Reine Rochard », mais je n’ai pas trouvé confirmation ! Claire Gignac chante un poème de Anna De Noailles sur un autre CD de Julos, mais, ce n’est pas du tout la même voix. J’avais pensé à Barbara D’Alcantara, mais, elle aurait été bien jeune en 1978, à mon avis,ou alors, je ne m’y connais pas en nana ! (Je crains d’être un peu un nanalphabète!) Aujourd’hui, je vous propose quelqu’un qui est très connu et qui nous a quittés en février. Il s’agit de Graeme Allwright avec une chanson traditionnelle américaine d’origine irlandaise,qu’il a enregistrée en 1966 : « La mer est immense » . Renaud a repris cette musique pour « J’ai voulu planter un oranger », mais, personnellement, chaque fois que quelqu’un reprend plus ou moins fidèlement une chanson, je préfère pratiquement toujours l’original ! Il doit bien y avoir quelques exceptions, mais il me semble qu’on peut les compter sur les doigts de pieds d’une seule main ! J’ai l’impression que le « repreneur » tient à y mettre son « cachet » et en rajoute même un peu trop, ce qui peut paraître un peu « maniéré ». Et je préfère quand même l’art à la manière ! Il faut reconnaître que la voix magnifique de Graeme avec ce petit accent né aux Zélandes et la sobriété de l’interprétation sont difficiles à égaler. On peut le voir en vidéo avec le célèbre « Il faut que je m’en aille » que l’on a tous massacré en fin de banquet et qui est une bien belle chanson ! De mon côté, je vous propose deux textes pour le prix de deux ! « Deux soleils » est un court poème que je place juste avant la chanson « Silence » . Deux inédits! C’est le printemps, ce sont donc deux patates nouvelles ! Des patates douces non? Portez-vous bien et à lundi prochain ! Michel
Cet ancien adhérent de l’AEAP vient de nous quitter à l’âge de 82 ans, terrassé par le coronavirus.
Toujours prêt à rendre service et à distraire ses amis, ce chansonnier venait chaque année des bords de Loire, mettre sa camionnette et ses bras à notre disposition pour transporter et installer le stand AEAP du salon de l’agriculture.
Cet amoureux des pivoinesqu’il cultivait, avait rejoint Robert Rotrou à l’académie Alphonse Allais et faisait également partie de l’association des amis d’Emile Joulain.
L’AEAP présente ses condoléances attristées à sa famille
Bonjour à tous, La paix ? L’armistice ? La libération ? Cochez la case correspondante ! Malgré tout, prenez un masquimum de précautions !
Aujourd’hui, je vous propose d’écouter Luc Romann, chanteur du sud de la France qui est décédé en 2014. J’ai eu le plaisir de chanter avec lui à Vieillevigne (44) il y a bien longtemps, j’avais remplacé Jean Max Bruat qui était malade. J’ai d’ailleurs mis cette chanson à mon répertoire pendant quelques années.
Je vous propose toujours des artistes peu connus, mais qui auraient mérité de l’être. Ce sont aussi des gens d’une époque assez lointaine, en général, autour des années 70. A cette époque, beaucoup de chanteurs se sont affranchis de leur maison d’éditions, et ont ainsi pu créer sans contraintes de forme (format, radio…) et de fond (censure éventuelle). Il y eut alors un foisonnement dans toutes les régions, d’auteurs compositeurs interprètes libres et donc très divers, et qui se produisaient, en particulier, dans des MJC nombreuses et actives. L’arrivée de la gauche au pouvoir en 81, en instaurant des scènes nationales dans les grandes villes, a mis à mal ce tissu dense, en particulier, en « aspirant » les forces vives de l’animation de ces lieux.
Il reste donc, de ces temps, des sources de grandes richesses, et si j’y puise l’essentiel de mes propositions, c’est bien parce que c’est au plus près de la source que l’eau est la plus pure ! (Dixit P. Forcioli )
Aujourd’hui, il y a plus de diversité et même d’authenticité me semble-t-il qu’il y a une dizaine d’années, mais, quand même, j’ai souvent du mal à comprendre les paroles: la musique est trop forte et l’articulation laisse à désirer. Vous me direz: « Tu n’es pas un peu dur de la feuille? » J’entends bien la remarque, mais quand même ! J’ai l’impression que, comme « ils » voient qu’on ne comprend pas, « ils » répètent trois ou quatre fois la même phrase! Là, on comprend, mais alors, on se dit que c’était pas plus mal quand on ne comprenait pas!!! J’exagère un peu ? La poésie fout le camp non?
Mon texte ci-joint est une chanson qui se trouve sur mon deuxième CD (2015), mais que je ne chante jamais. Il me semble qu’elle correspond et répond un peu à la période que nous vivons actuellement.
Portez-vous bien, et malgré le déconfinement, à lundi sans doutessss ! Michel
« En ces temps de confinement, il y a des nouvelles qui font plaisir, d’autres pas. Le festival pour la remise des prix des 47èmes jeux floraux de La Roche sur Yon, organisés chaque année par l’Essor poétique, le 9 mai, sont annulés. Par contre, j’ai eu avec cette annonce, le plaisir de recevoir le palmarès 2020 de ces 47èmes jeux floraux: J’y reçois le premier prix de la nouvelle pour mon texte : Julie et Julo. C’est un texte qui parle de la relation très libre au départ, puis de plus en plus tendre entre deux jeunes d’origine bretonne, un peu déracinés dans la ville de Poissy au milieu des années 1960. Dans l’environnement de l’usine Simca et de l’urbanisation grandissante de cette ville encore en partie rurale. J’espère intégrer ce texte avec deux autres dont j’attends de savoir s’ils auront su également émouvoir les jury de deux concours de l’île de Noirmoutier, dans un prochain recueil que je prépare. » Ch. Plain-Texier
L’AEAP présente ses plus sincères félicitations à Christian pour ce prix bien mérité et lui souhaite bonne chance pour cette prochaine édition.
Au téléphone elle est toujours autant volubile et porte un regard plein de sagesse sur les problèmes de société qu’a posé l’avènement du coronavirus; elle reste confinée seule, prudemment, dans son immense et magnifique ferme de Dordogne, sans se plaindre de sa situation. Son seul regret: que ses yeux ne lui permettent plus de lire ni d’écrire, sinon, soyons assurés qu’elle continuerait à publier; elle a encore tant à nous dire!
Tous les membres de l’AEAP souhaitent un heureux anniversaire à leur doyenne bien-aimée.
Donc, toujours confi…turés chez soi ! On va finir par attacher au fond à force ! C’est marrant, ma grand-mère disait « rimer au fond ». Les laitages caramélisés au fond des casseroles étaient les meilleurs ! Les rimes des laitages Etaient du meilleur goût Et l’enfant le plus sage En prenait tout son saoul ! Aujourd’hui, ma chanson est inédite, elle date de l’an dernier et est plutôt rurale voire paysanne, puisque j’y parle de « brabant ». Il s’agit de cette charrue réversible inventée en 1880 par Melotte et qui permettait de labourer à plat… Pour contrebalancer le « sérieux » de mon texte, je vous propose deux vidéos des « Deschiens », série télévisée à partir de 1993 et créée par Jérôme Deschamps et Macha Makéïeff. François Morel, Bruno Lochet et Yolande Moreau en étaient les principaux comédiens. Il s’agit du » Chanteur d’opéra » et d’une reconstitution, 30 ans après, avec Laurent Gérra . Je trouve, personnellement, qu’il y a beaucoup d’empathie et de tendresse dans ces petites scènes, alors que la plupart des « comiques paysans » qu’on voit un peu partout, véhiculent un peu trop l’image de paysans, finauds, peut-être, mais souvent un peu avinés et contant des histoires plutôt grasses! Je rie un peu mais pas longtemps et çà me fait penser à cette définition des vieux dictionnaires : « Paysans : Sorte de gens rustres et grossiers habitant les campagnes! » Il y a peut-être mieux à faire, et ces temps difficiles que nous vivons, devraient nous inciter à promouvoir une meilleure image de notre belle et essentielle profession! Jérôme Deschamps est né à Neuilly, étonnant non, avec un nom pareil, comme aurait dit Desproge!
Portez-vous bien et à lundi pour la mise à l’herbe !!!
Jérôme RADWAN, membre de l’AEAP a voulu partager avec nous ce beau poème.
« Le soir aux rougeoyants récits crépusculaires, Berce entre nuées l’Océanie des siècles, Quel est ce bruit de pas sur la route brumeuse, Où les peupliers clignent comme des cierges?
C’est le poète lâche et mal rasé qui passe, Il traîne à la gare sa vache, la Doucette Qui meuglait humainement quand il la trayait Qui finira demain sa vie à La Villette;
Voilà la gare hideuse et le wagon infect… La bête a peur… l’homme monte… il l’appelle « ô douce », Alors la bête suit la lumière vocale.
Ô mon Dieu, quand donc me saisirez-vous à la gorge A mon tour? … Je suis rentré par la route aveugle, C’était comme un tâtonnement universel de honte…
Et cette prière à la rainette qu’il a épargné de sa faux: « Non, laisse aller ta faulx sur le côté, prends pitié De cette rainette, … Tu allais lui trancher les pattes. » … Ô bestiole mélodieusement laide, Reste…pourquoi aurais-tu peur d’un poète Plus nu, plus pauvre encore d’âme que ton corps?
Déjà le ciel n’est plus qu’un écho de la nuit. Voici frémir la mélodie des feuilles mortes, Rainette, entendons la Nous enseigner la vie. »
Oui, qui peut encore parler de cette façon? Sans Commentaire. L’itinéraire de Druelle, c’est celui de son coeur Marius Noguèz, numéro 27 de la revue ‘Plein Chant’ de septembre-octobre 1985 (p. 58), qu’Edmond Thomas (né en 1944) anime encore contre vents et marées. Sans lui, les écrits de Henry Poulaille, deJean-Pierre Canon, de Michel Ragon et de tant d’autres que la Dame à la Faux qui égalise tout le monde nous a ôtés récemment n’auraient pas pu être à l’ordre du jour. / Jérôme RADWAN
Bonjour à tous C’est déjà mon sixième billet du lundi !
Aujourd’hui, éloge de la douceur et même de la fragilité! D’abord un texte des « Brèves de comptoir » qui est plutôt bien vu, puis un poème de Marcelline Desbordes-Valmor (1786-1859) « Vous aviez mon coeur » mis en musique par Julos Beaucarne et chanté par…. peut-être par Barbara D’Alcantara ? Cela ressemble bien à son timbre de voix, mais il me semble qu’elle aurait été bien jeune! Julien Clerc a fait une belle musique aussi sur « Les séparés » de cette même auteure. Et puis je vous mets ma chanson « Les fleurs » en audio (enregistrement direct légèrement travaillé par Bernard Boudaud)
Brève: » Dans les fouilles archéologiques, des fois, tu trouves des trucs rouillés, même neuf, çà valait rien. On trouve des trucs romains que les Romains de l’époque se seraient pas baissés! Et d’ailleurs, c’est pour çà qu’on les trouve…Le Romain l’a laissé par terre et c’est un mec de maintenant qui les trouve! Moi, des fois, je trouve un truc par terre, je me baisse pas, je laisse çà pour ceux qui se baisseront dans le futur, chacun se baisse à l’époque qu’il veut! C’est çà , l’archéologie, finalement, faut attendre pour se baisser! »
Les écrivains-paysans membres actifs qui souhaiteraient utiliser le fichier de l’affiche AEAP pour apposer un panneau sur leurs stands de dédicaces peuvent se faire connaître auprès de la présidente: jbellino@neuf.fr
Un petit mot pour vous dire combien je pense à vous. Je vous espère tous et toutes en bonne santé. A ce jour je n’ai pas eu connaissance de cas de coronavirus dans les rangs de l’AEAP et je m’en réjouis, tout en ayant une pensée émue pour tous ceux qui n’ont pas eu de chance, ainsi que pour nos professionnels de la santé, particulièrement admirables en ces circonstances.
Je voudrais remercier Michel Boudaud, qui nous offre chaque semaine, pour rompre la morosité ambiante, son billet rose, billet doux, d’une valeur inestimable. Qui nous ramène toujours à ce qui pour nous, écrivains et artistes paysans, est l’essentiel : la Terre, l’Homme, le sourire, la musique des mots et des notes.
N’oubliez pas de cliquer sur les titres de vidéos et de poèmes qu’il nous propose afin de pouvoir les visionner.
Je remercie aussi ceux d’entre vous qui profitent de ce confinement pour nous envoyer leurs témoignages et réflexions de paysans. Le moment est propice, en effet, pour s’interroger sur l’avenir que nous voulons offrir à nos enfants. Quelle société, quelle agriculture pour demain? Continuez à nous écrire. Chaque contribution est précieuse car chacune est unique.
Je vous souhaite de continuer à traverser cette zone de turbulences dans la paix de Mère Nature, en savourant les charmes de ce printemps qu’elle continue à nous offrir. Malgré tout.
Aujourd’hui, ce petit billet est un peu sous l’étendard de l’universalité, étendard multicolore évidemment. Pour essayer de nous extraire de notre quotidien un peu morose, pas facile de trouver des mots roses… Avant le covid, on avait des corps beaux, après, on aura des corvidés!!! Ou regonflés ? Avez-vous vu que « Universalité » coupé en deux donne « Univers alité » ? Penchons-nous donc sur son (notre) chevet.
Ma chanson de ce soir, c’est « La terre, créée le 25 octobre à la « Tour de Arts », aux Herbiers, en compagnie, notamment des amis Gaby Arnaud et Philippe Faucheux.
Je ne l’ai pas chantée depuis, donc, elle n’est pas usée!
Ma recommandation est une danse qui fait le tour de la terre, sur une musique d’un groupe « trad » qui semble irlandais Jiggy
Il y a une telle fraîcheur qui se dégage de ces gens que je n’ai pas résisté à vous la proposer, même si certains ont sans doute déjà vu cette vidéo.
Et puis, en prime aujourd’hui, une conversation que j’ai piquée dans les « Brèves de comptoirs » de Gourio. Il y en a quelques unes qui sont pas mal vues, même si, dans la plupart, il y a à boire et à manger! (à boire, surtout!). La voici donc:
-« S’il y a la vie sur une autre planète, çà veut dire qu’il y a aussi la mort, alors, on est aussi bien chez nous, non?
-De toutes façons, y en a pas de la vie ailleurs!
-Si y a pas de vie, y a pas de mort non plus!
-C’est bien!
-Oui!
-On est la seule planète où y a de la mort dans tout l’univers!
Y z’ont du pot les autres!!! »
Je vous souhaite une belle semaine avec une bonne tartine de courage beurrée de sérénité!
Merci une fois de plus à Michel qui vient égayer notre confinement par ses chansons d’espoir. N’hésitez pas à laisser un commentaire pour lui témoigner à votre tour votre amitié.
Bonjour à tous
Comme tous les premiers lundis de chaque semaine, je vous adresse un petit billet avec une de mes nouvelles chansons (en texte seulement pour l’instant ! ) et une proposition d’écoute de quelqu’un en général peu connu, mais qui aurait gagné à l’être (et nous avec! ) Cette semaine, c’est Danielle Messia, chanteuse de grand talent, qui a enregistré deux disques. Elle est décédée en 1985, d’une leucémie à l’âge de 28 ans! Elle est un peu connue des amateurs, mais pas assez du grand public;
Mon texte s’appelle « L’avenir » ! Par les temps qui courent (il n’y a bien qu’eux qui courent d’ailleurs !), l’avenir a-t-il de l’avenir? L’avenir nous le dira ! Cette chanson date d’un peu avant la période de clostrorophorme que nous vivons, et elle se veut plutôt optimiste ! Bon, il faut y croire !
Bon courage à tous et en particulier aux soignants.
Bienvenue à Gilbert Daudan, cousin de René, notre sympathique auteur-compositeur-interprète paysan, qui vient d’être accepté par notre comité de lecture pour son livre La Dernière ferme avant la rivière.
« Je vous remercie, Madame la Présidente, vous et votre comité de lecture, de m’accueillir au sein de votre association!
Cette distinction vient couronner un travail de plusieurs années; elle récompense aussi tous les personnages que j’ai sortis de l’ombre: sans leur présence à mes côtés , fussent ils encore en vie ou déjà morts, ce livre n’aurait jamais vu le jour et je ne serais pas devenu l’individu – avec ses limites et ses contradictions – que je suis! »
Pourquoi se priver des bonnes habitudes? Voici donc mon billet N° 3 avec ce titre pour vous aider dans cette traversée du désert ! Au fait, savez-vous ce qu’est un chalumeau? … C’est un dromaludaire à deux bosses ! Bon, je sais, c’est moyen, mais on fait avec ce qu’on a !
Après Bertin et Tachan, ma recommandation de cette semaine, c’est un groupe qui a disparu assez tôt, mais qui a marqué par la qualité de ses chansons et la fraîcheur des interprétations. J’ai eu la chance de les voir en concert à Paris sans doute en 73 ! On va préférer le direct, malgré , semble-t-il une qualité de prise de son moyenne; Cramponnez-vous, c’est en noir et blanc, mais les voix sont éclatantes.
Par ailleurs, la punition de la semaine est un texte qui n’a que quelques jours et qui parle…du corona-virus ! Je n’avais vraiment pas envie d’écrire sur ce sujet (Quel angle: Médical ? Poétique ? Humoristique ? Pas évident pour moi qui ne suis pas médecin et même pas malade !)
Une amie m’a un peu lancé la perche et puis le premier vers est venu assez vite, mais après, bonjour !!! Le voici donc en PJ, il s’appelle « Emballements »
Voilà,confinez-vous bien et dès qu’on finira et bien on fera…on fera mieux qu’avant, j’espère !
L’AEAP a le plaisir d’accueillir Robert Aprin, poète paysan atypique, très actif et bien connu dans les associations de défense de la langue et de la culture provençales. Bienvenue parmi nous.
Suite à mon petit mot de la semaine dernière et plusieurs réponses encourageantes reçues, je me décide à vous « revoir » chaque semaine pour chanter en chœur malgré tout ce qui traîne dans l’air ou plutôt à côté de l’air, puisque c’est quand même une sacrée voix de fausset qui nous brouille l’écoute!!!
Donc, je vous joins à chaque fois,une de mes nouvelles chansons, qui n’est ni dans les CD, ni dans le livre. Je peux tenir un certain temps, mais pas plus quand même !
Aujourd’hui, un peu de légèreté avec « La pendule ».
Je me permets aussi, à chaque fois, de vous recommander quelqu’un. Ici, c’est
Henri Tachan, çà fait du bien, et le final est génial !
J’ai oublié de vous dire que le concert à La Roche sur Yon, s’est très bien déroulé, et que celui du 28 mars ne s’est pas déroulé du tout, évidemment !!!
Le magazine Terres de Bourgogne a consacré le 20 mars une page à notre présidente d’honneur Chantal Olivier, co-auteure avec Claude Chainon du livre « Les Ecritures paysannes ». Un article qui retrace son parcours professionnel mais aussi son engagement au sein de l’AEAP dont elle fut dès le début et dont elle est toujours un des principaux piliers.
En cette période de troubles, beaucoup d’entre nous ont le privilège de poursuivre leurs activités à la campagne comme à l’accoutumée. D’autres ont celui de se réfugier dans l’écriture, oubliant la réalité du moment, où se libérant de leur stress sur la page blanche.
Cependant nous sommes tous inquiets pour la santé de nos aînés ainsi que par l’impact de cette crise sur la vie professionnelle de nos enfants.
C’est pourquoi je vous souhaite bon courage et bonne santé pour vous et pour vos proches.
Sachons attendre avec patience le retour de jours meilleurs.
J’espère que nous nous retrouverons nombreux au prochain congrès, pour oublier dans la joie cette traversée du désert,
Cette année encore une dizaine d’écrivains de l’AEAP ont participé au Salon de l’agriculture en se relayant à 2 tables de dédicaces mises à notre disposition sur le stand du Mouton vendéen. L’occasion de se retrouver, faire de belles rencontres, de connaître un nouvel adhérent, et de présenter nos ouvrages. Mais surtout de montrer que l’écriture paysanne a encore sa place dans une agriculture parfois déshumanisée.
Désormais, si vous avez vous-mêmes une page Facebook, vous pouvez consulter nos actualités et celles de nos écrivains et artistes en recherchant sur Facebook la page « Association des écrivains et artistes paysans » et en vous y abonnant si vous le souhaitez.
Cette page a été conçue pour faire la promotion des événements de l’AEAP mais aussi de nos adhérents (publications, concerts, vernissages etc…).
Ces événements seront diffusés gratuitement auprès des abonnés à la page (pour l’instant 66). Cependant on peut atteindre davantage de destinataires avec une participation financière pour Facebook de 2€ par jour.
Des essais ont été effectués sur des périodes de 5 jours. L’information a été expédiée à quelques milliers de personnes (entre 3000 et 8000 par publication). A peu près 10% d’entre elles ont cliqué sur le lien pour en savoir plus. Il n’y a aucun moyen de savoir si ces contacts engendreront ou pas des ventes.
Ceux d’entre vous qui souhaiteraient profiter d’une publicité doivent en faire la demande auprès de jbellino@neuf.fr
Celle-ci devra comporter l’information elle-même, si possible une photo (couverture de livre, affiche de concert…). Et les informations suivantes qui permettront de cibler la diffusion:
Nom de l’audience (Titre de la publication). Ce nom devra être constitué de mots-clés attractifs pour les clients potentiels. Par exemple le titre « Alexandra dite Alex » ne touchera que les porteurs/ses de ce prénom alors que nommer cette publication « Tolérance et homophobie » permettra de toucher un public plus motivé par le sujet.
Age du public souhaité: Exemples: De 18 ans à 65 ans et + ou de 40 ans à 60 ans
Genre: femmes, hommes ou les 2
Durée de la publication: à 2€ par jour, à vous de choisir. La publication sera mise en ligne dès que notre trésorier recevra le chèque correspondant à votre souhait libellé à l’ordre de l’AEAP (10€ pour 5 jours semble être un choix à la fois raisonnable et efficace).
Trésorier: Daniel Esnault, 168 Bd de France, 14150, Ouistreham
Lieux: Bien sûr on peut choisir France mais, pour avoir essayé, nous avons remarqué que le public touché n’était pas plus nombreux. A mon avis il vaut mieux choisir une région ou une ville (où se situe l’action du roman ou le spectacle).
Si vous voulez des précisions, vous pouvez m’appeler: 06 09 07 59 12
Bonjour,
Seriez vous en mesure de m’aider ou de me conseiller une formatrice ou formateur basé(e) dans le 66 et référencé(e) sur le site gouvernemental: www.moncompteformation.gouv.fr.
Mon employeur (boutique du Champignon Villefranche de Conflent) développe de +en+ son rayon librairie en identification, huiles essentielles,…
N’ayant aucunes notions dans le domaine des plantes je recherche dans un premier temps une initiation.
Merci pour votre aide.
A bientôt et une belle année à vous.
Henri www.facebook.com/henri.duch
L’AEAP sera l’invitée de Radio France International lundi 24 février à 14H30 où la présidente Jacqueline Bellino et Catherine Ecole Boivin présenteront la littérature paysanne.
Invité de l’émission Entre les pages l’écrivain paysan Alain Charbonneau ne se contente pas d’évoquer son livre Alexandra dite Alex, il évoque aussi avec passion les sujets qui lui tiennent à cœur: la vie à la terre, aussi bien que le réchauffement climatique ou l’injustice…
Michel Boudaud nous transmet le message suivant. Nous espérons qu’il participera également à notre prochain congrès, fin août, pour nous régaler lors de notre soirée récital.
Bonjour à tous et bonne année (Sachant qu’on est en déjà en Février, l’efficacité de mes souhaits est évaluée à 91,66 %!)
Mes concerts de fin 2019 furent très satisfaisants, avec de belles rencontres, de bons retours du public et quelques articles intéressants dans la presse internationale du canton concerné! Et puis, ce qui est gratifiant, c’est, qu’à peu près une fois sur deux, il y a une nouvelle date qui est proposée.
Par ailleurs, à sa sortie, j’avais fait parvenir mon livre à la rédaction de « Campagnes solidaires » , mensuel de la Confédération Paysanne et j’ai écopé de la 4eme de couverture dans le numéro de janvier, çà peut pas faire de mal! Paru, aussi, mon texte « Rivière »dans « Le liens » de 2020, édition des « Ecrivains Paysans » .( D’ailleurs, je vous le mets en PJ puisqu’il ne sera jamais dit en concert.)
Voici donc les dates prochaines, sachant qu’il y a quelques projets qui pourraient s’intercaler notamment en Bretagne et près de Nantes Et pourquoi pas vers Poitiers?.Affaires non classées donc.
Samedi 7 Mars à 20h30
Maison de quartier du Bourg sous La Roche
61 Chemin de la Giraudière
(Contact: 02 51 36 35 14)
Samedi 28 Mars, concert privé en Deux-Sèvres
Week-end du 16 Mai
Participation au W.E Poésie
Au Haras de la Roche
Week-end du 20 Juin
Participation au W.E « Gaston Couté »
Chez Françoise et Jacques Cousseau
A Bridoré ( Indre et Loire)
Dimanche 26 Juillet (après-midi)
Concert au festival « Les arts en fête »
A la « Commanderie Templière »
Villegats ( Charentes)
Contact: 06 22 81 22 91
Week-end du 19 Septembre
Concert au festival « Ralentissons! »
A Notre Dame du Marillais (Maine et Loire)
Contact: 06 22 65 15 34
Vendredi 25 Septembre à 20 h
Concert à Charroux ( Vienne)
« La maison des arts »
3 Place du Parvis
Contact: 06 81 57 89 42
Voilà la situation actuelle, Gros merci à tous de permettre que vivent encore ces petits lieux de bonheur et d’authenticité sans qui le show-bizzzzz serait…ce qu’il est! Au fait, avec le brexit, on entendra moins de chansons anglaises sur nos radios? Non? Notre langue maternelle (paternelle?) est trop belle peut-être?
Info de dernière minute:, pour plus de facilité dans certaines situations, je suis en train d’adopter le statut d’auto-entrepreneur, qui est aujourd’hui appelé « micro-entrepreneur », ce qui m’arrange bien parce que je préfère chanter derrière un micro plutôt que devant une auto!
La dernière annonce de concours a valu une mention spéciale à l’un de nos écrivains-paysans. Alors, chiche!
La revue L’encrier renversé, avec pour partenaires la Ville de Castres et le Crédit agricole Nord-Midi-Pyrénées, organise son 32e concours de nouvelle, ouvert à tous du 1er/1 au 15/5/2020 minuit. L’inscription est de 5 € (gratuite pour les mineurs et les participants de l’étranger et des outremers). Aucun thème imposé. Envoyer une nouvelle inédite de 15 pages max. (22 500 signes), en 4 exemplaires, au : 9, hameau En Priou, 81580 Cambounet-sur-Sor (France). Anonymat et quadruple lecture garantis, le jury final réunit les lauréats des éditions précédentes. Le 1er prix est de 1 000 €, le 2d de 300 €. Le prix Marie-Schembré (cumulable), de 200 €, récompensera un auteur de la Région Occitanie. Le prix Lycéens (cumulable), de 150 €, sera décerné à un auteur choisi par les lycéens. Les meilleures œuvres paraîtront dans L’encrier renversé.
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