Communication de Charles Briand

Les images de couverture et 4ème de couverture insérées sous Word ne sont pas prises en compte par le logiciel WordPress et n’ont donc pas pu être reproduites ci-dessous. Il en est de même pour leur insertion sur le site.

Charles BRIAND

3 rue des Praalats

10700 ARCIS sur AUBE                                                                   le 20 Décembre 2022

03-25-37-00-10

charlesbriand@sfr.fr

Bonjour à vous,

                          Tant il est vrai qu’il faut parfois se donner du mal pour transformer l’or en barre et en obtenir trois livres au kilo. (Sérieux s’abstenir).

Lors de notre dernier congrès de fin Août à Plaisance du Gers en Gascogne, en discutant avec les uns et les z’autres… je me suis rendu compte que nombre de livres de nos collègues écrivains paysans ont été produits à compte d’auteur. Et pourquoi pas ?

Sauf que moi, depuis une trentaine d’années je suis publié par les éditeurs. Et j’ai eu la chance de voir certains de mes livres passer par France Loisirs, le Livre de Poche et autres clubs, pour des tirages nationaux… z’intéressants. Sauf…

Sauf que depuis quelques années, force m’est de constater que les éditeurs sont devenus timides. A moins que mes écrits ne soient plus intéressants… pour eux. Ils m’ont donc refusé et renvoyé plusieurs de mes manuscrits. Même si j’en ai re écrit un qui a finalement été publié voilà quelques années. Les autres ?…

Et puis, lors du congrès à Plaisance du Gers je me suis rendu compte que j’étais pratiquement le doyen de la bande. Et que, à 86 ans je n’allais pas vers une amélioration de mes records. Sinon plutôt vers une destinée qui nous attire tous. In-exo-ra-ble-ment.

Tout compte fait, j’en suis arrivé à penser que je n’ai plus rien à attendre. Et que moi aussi, dans la mesure où j’en ai les moyens, je peux sans doute sortir quelques livres à mes frais. S’ils ne sont pas publiés au niveau national, tant pis. J’essayerai d’en vendre quelques uns. Et puis s’ils restent là, quand moi je vais partir, mes enfants (5) les petits (7) les arrières (5 pour l’instant…) se les partageront.

 Alors j’ai décidé de transformer mes lingots stockés plein la maison… en livres qui pourraient intéresser ceux qui m’ont suivi depuis une trentaine d’années. Ce sera beaucoup plus facile d’utilisation. Et puis sortir trois livres au kilo ce sera avantageux pour tout le monde. Et ça rendra hommage à ce personnage qui voulait savoir… il y a 25 ans :

– Monsieur BRIAND, ces livres vous en avez vendu combien de tonn-nne-nes ?…

C’est ce jour-là que je lui ai fait savoir que pour les expédier, dans un poste livre limité à un kilo je pouvais en mettre trois. Et que le Cherche Midi Editeur venait de me faire savoir qu’il s’en était vendu…300.000. C’est l’un des directeurs ( ?) du « mossieu » qui répondra à sa question… avec autant de finesse qu’elle avait été posée :

– Monsieur le Président, 3 livres au kilo, trois cent mille exemplaires, cela fait très exactement cent tonnes.

Merci Seigneur… Le ridicule ne tue pas.

Alors voilà, sans vouloir les vendre par trois, je me suis quand même débrouillé pour en faire imprimer plusieurs. Persuadé qu’ils auront autant de valeur littéraire que ceux qui ont été publiés par les éditeurs dans le passé. Cf. les centaines de courriers de mes lecteurs…

Je vous propose de prendre connaissance de trois présentations. Et pourquoi pas de m’en faire les critiques. Ou de me montrer votre intérêt.

Je sais bien, les livres, pas plus que les lingots… ne suivront mon cercueil mais je suis persuadé que lire trois livres… ça vous intéressera plus que l’arrivée d’un hypothétique lingot de mon stock d’or. D’autant que je ne sais plus où je les ai planqués.

En attendant puis-je vous souhaiter de bonnes fêtes de Noël, en famille. Avec un démarrage de l’année 2023 aussi à l’aise que vous pouvez l’espérer.

Charles BRIAND

L’AUBE SE LÈVE EN CHAMPAGNE

Ce livre est le tome 3 de la saga : « La guerre du Champagne »

dont le tome premier paru voilà dix ans « LE BATAILLON DE FER » a reçu le Prix du Conseil Général de l’Aube en 2012.

Il a été suivi du tome 2 « L’AUBE VA-T-ELLE SE RELEVER ? ». où l’on va assister à la prise de conscience des jeunes vignerons de l’Aube désireux de se relancer à produire du Champagne.

Jusqu’au retour d’Algérie d’un jeune héritier qui va se prendre à défricher les savarts pour replanter (comme l’y autorise la loi de 1927) les vignes détruites jadis par le phylloxera.

L’AUBE SE LEVE EN CHAMPAGNE

ON A DU FAIRE AVEC

PROFESSION CONSEILLER AGRICOLE

Une réflexion sur “Communication de Charles Briand

  1. Mais oui Charles il faut continuer d’écrire. Tu n’es pas si vieux !
    En lisant à l’envers tu as 68 ans !
    Moi bien sûr, à l’envers j’en ai 18 !
    Meilleurs voeux !

Répondre à Annie Goutelle Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *