- Dans un gîte, près de l’étang de Vioreau (44) le samedi 16 Juin à 20H (me contacter si intéressés)
- A Mairé- L’évesquault (79) le samedi 28 Juillet a 19 H. Organisation : Bibliothèque et foyer rural – Renseignements et réservations 05 49 07 96 04
7 à Poitiers: un article sur Jacques Chauvin
Ce cordonnier-ethnologue, gendre de notre fondateur Augustin Héraut et adhérent lui-même de l’AEAP, n’a pas les deux pieds dans le même sabot. C’est le moins que l’on puisse dire. Nous en profitons pour le remercier du temps qu’il consacre à notre association, la faisant profiter de ses connaissances éclectiques.
http://www.7apoitiers.fr/enquete/2616/le-cordonnier-nbsp-ethnologue
Un nouveau site pour l’AEAP
Le site de notre association vient d’être remodelé. Plus attractif, avec de nombreuses photos, il présente nos activités et l’esprit qui guide notre association. Il a l’ambition de devenir une plateforme d’échanges et de concertation. N’hésitez pas à y déposer vos messages.
Les pages concernant nos écrivains et nos artistes seront actualisées dans les mois qui viennent.
La page « Actualités » renvoie directement sur ce blog.
J’attends vos commentaires,
Amicalement,
Jacqueline Bellino
Les concerts de Létizia Giuntini
C’est reparti! Jusqu’à fin septembre, tous les mardis à 11 heures Létizia délaissera ses chèvres pour se produire dans la chapelle d’Occi, en Corse.
Des concerts exceptionnels qui se méritent. Il faut prendre le petit sentier derrière l’hôtel de Lumio, en face Calvi, de l’autre côté de la baie et grimper une demi-heure pour se retrouver au milieu du village en ruines d’Occi dont l’un de ses aïeuls fut le dernier maire. Et là, devant un panorama à vous couper le souffle, s’élève de la chapelle la voix sauvage, rocailleuse, magnifique de la chevrière corse.
Vaut le voyage.
Des moments enchantés qui vous laisseront un souvenir impérissable. http://www.letiziagiuntini.fr
Un nouveau titre pour Marcel Grelet: « Mi Abuela, muse de Jean Giraudoux », EM Edition
On peut être écrivain-paysan et s’intéresser à d’autres sujets que l’agriculture ou la nature.
On le savait déjà, cet ancien éleveur est particulièrement attentif à l’Être humain, qu’il sait dépeindre avec tendresse et sensibilité dans sa complexité.
L’occasion d’une rencontre à Barcelone avec l’héritière de la mémoire de celle qui fut la muse de Giraudoux va l’entraîner et nous entraîner dans une aventure de Paris à Buenos-Aires, d’Argentine en Hollande et d’Espagne en France puis au Royaume-Uni… à travers la biographie de trois femmes hors du commun, avec, en filigrane, les peintures de Jongkind et les textes de Giraudoux.
Pour commander contacter :
ELLA éditions 42 route de Chavannes 28330 Lèves
Diffusion des mots 85600 Montaigu.
Premier avril
Un poisson, un oeuf, un lapin… ou un joli texte de notre très cher Charles Briand?
Joyeuses Pâques!
LA BEATCANNE
De ses parents elle a hérité ses origines. Graminodiacée, elle allie les avantages de la racine de la betterave et ceux de la tige de la canne à sucre : Enracinement fasciculé entourant un gros pivot. Etagement des feuilles sur une longue tige. Et un potentiel photosynthétique cumulant celui de ses deux parents.
Le plus drôle c’est qu’elle a été « inventée » par un Français au XIXe siècle. Un de ces hurluberlus en mal d’aventure, parti en Amérique Centrale pour accompagner Ferdinand de Lesseps, le vieillard aventureux décidé à creuser un canal à travers la montagne pour faire passer les bateaux de l’Océan Atlantique à l’Océan Pacifique sans passer par le Cap Horn. Qui ne connaît le canal de Panama.
Hybridation fortuite?… Ou coup de génie d’un homme simple?… La Beatcanne s’est révélée dotée de qualités végétatives extraordinaires. Résistante à toute agression (habitude prise sous les tropiques) elle peut pousser aussi bien en limite du désert torride, que démarrer sous la neige, (comme dans la Cordillère des Andes). C’est dire l’étendue de son aire de production dans les deux hémisphères..
Elle était restée discrète en raison de sa stérilité florale congénitale. On est donc obligé de la multiplier par provignage, ce qui n’est guère réalisable en grande culture. Mais la multiplication in-vitro a levé cet obstacle. Des milliers de petites écailles élevées en éprouvette, puis racinées en micro-godets, se retrouvent plantées en plein champ tout comme des laitues, des tomates ou des melons. Désormais les matériels sont prêts, les techniques sont au point, la protection phytosanitaire sans graves exigences agropharmaceutiques et plus rien ne s’oppose à ce que la culture de la beatcanne s’étende rapidement. Attendons-nous à la voir apparaître chez nous, pour changer, et nos paysages, et nos habitudes.
Multipliée par deux, la production saccharine va satisfaire la demande en sucre de bouche et en sucre industriel. Mais l’exceptionnelle richesse des jus va permettre d’obtenir l’éthanol, cet alcool destiné à la fabrication de l’E.T.B.E. (Ethyl-Tertio-Butyl-Ester) que les motoristes utilisent pour maintenir les indices d’octane des carburants sans adjonction de plomb. C’est dire que notre facture pétrolière sera réduite d’autant, et que l’écologie y trouvera son compte.
D’autre part on vient de découvrir que les pulpes résiduelles peuvent fournir des tensio-actifs, détergents naturels qui remplaceront avantageusement les phosphates dans les lessives. Ce qui n’enlèvera rien à la valeur alimentaire des pulpes que le bétail continuera à utiliser nature, surpressées, ou déshydratées.
Enfin le feuillage pérenne de la beatcanne pourra être utilisé toute l’année pour nourrir les salmonidés des élevages piscicoles. Les truites produites en un temps record sont très recherchées par les gastronomes pour leur goût très proche des truites de rivière. De quoi ravir tous les gourmets.
Ainsi donc, si la beatcanne bouleverse nos habitudes, ses avantages sont tels que nous nous prêterons de bonne grâce aux changements qui nous seront imposés. La preuve ?
Nous nous sommes bien habitués à la production de fèves pour la galette des Rois. Pourquoi n’arriverions-nous pas à nous habituer à la beatcanne pour le Poisson d’Avril ?…
Charles BRIAND
Cousin de la beatcanne à jus.
L’AEAP au Salon de l’agriculture
Forte mobilisation de nos auteurs pour soutenir l’AEAP au Salon de l’agriculture.
Une dizaine de membres de l’AEAP ont fait le déplacement à Paris pour participer au conseil d’administration du 2 mars, dans les locaux de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture mis à notre disposition.
Le soir nous nous sommes réunis avec parents et amis au restaurant branché « Mon Coco », place de la République, pour une soirée des plus conviviales qui nous a permis de faire connaissance avec 2 nouveaux adhérents: Souaïbou Fofana et Michel Marloie.
Le lendemain, nous nous sommes retrouvés au Salon de l’agriculture où 5 tables de dédicaces nous étaient offertes sur le stand du Mouton vendéen, au cœur du Hall1 consacré au bétail, le plus fréquenté du Salon. Par ailleurs, l’AEAP était présente sur le stand de l’Enseignement agricole public (APREFA), espace que nous avons eu le plaisir de partager avec les élèves du Lycée agricole de Cibeins, près de Lyon, auteurs d’une BD sur l’histoire de cet établissement qui fêtera ses cent ans du 8 au 10 mai prochain. Son directeur, Monsieur Couvez, nous a promis de faire adhérer son lycée à l’AEAP
Michel Boudaud communique
Un nouveau titre pour Jean-Louis Quéreillahc: Un curé… mousquetaire
Il y a 46 ans, Jean-Louis Quéreillahc fondait l’Association des écrivains et artistes paysans, à Plaisance-du-Gers, ville dont il fut maire pendant 40 ans, élu à 26 ans plus jeune maire de France, et conseiller général à 28 ans. Cet agriculteur a publié une douzaine de livres dont Trois sillons de terre rouge fut un de ses plus grands succès.
Il y a un an, Jean-Louis décida de combler le vide laissé par la perte de son épouse en reprenant la plume pour nous offrir un nouvel ouvrage paru en décembre: Un curé… mousquetaire, qui raconte la vie méconnue d’un personnage célèbre de l’après-guerre: celle de l’abbée Félix Maupomé, curé de Dému, qui « s’illustra par sa bravoure et sa force de caractère durant la seconde guerre mondiale. Son action dans les stalags du nazisme laissa un souvenir impérissable à ses compagnons prisonniers de guerre. De retour en France, ce Gascon au tempérament bien trempé devint le curé de Dému. Là encore sa forte personnalité, sa joie de vivre, sa passion pour les chevaux, marquèrent à tout jamais ses contemporains. C’est le destin exceptionnel de cet homme que Jean-Louis Quéreillahc, qui le cotoya en captivité à Odessa, retrace dans ce livre-témoignage ».
A 97 ans Jean-Louis nous prouve ainsi qu’il n’a rien perdu de sa verve ni de sa vivacité d’esprit.
Le livre (15€ + frais d’envoi) peut lui être commandé à son adresse: 27, rue Armagnac, 32160 Plaisance-du-Gers
L’AEAP sera présente ce week-end à la Fête du Livre du Rouret près de Grasse (06)
Jacqueline Bellino tiendra un stand les 17 et 18 mars pour la fête du livre du Rouret, à laquelle participeront une centaine d’auteurs locaux, dont Jacques Salomé.
Suivre les panneaux « Poètes en liberté »
Les membres de l’AEAP qui le souhaitent pourront venir dédicacer leurs livres.
Merci à l’association organisatrice: Les passeurs de livres et à Jean-Claude Junin
La femme rurale à l’honneur
Journée internationale des femmes 2018 Exposition à la Maison de l’Unesco 7, place de Fontenoy, Paris, 7e.
Le thème de l’édition 2018 de l’exposition est la femme rurale. Elle transmet un message fort sur la créativité artistique des femmes rurales comme un moyen pour leur autonomisation, qui leur permet de se faire entendre, de s’autonomiser et de participer pleinement à tous les niveaux de prise de décisions.
Cette exposition est organisée en étroite coopération avec les États membres et rassemble une variété d’expressions créatives provenant de toutes les parties du monde. Elle encourage la réflexion sur les diverses perspectives de l’autonomisation des femmes dans l’art et à travers l’art. Elle nous rappelle que les femmes rurales sont confrontées à des formes multiples et croisées d’inégalités et de discriminations. L’exposition montre comment leur inclusion dans les radios locales et les media locaux, notamment en Afrique, leur permet d’avoir les connaissances nécessaires pour faire des choix éclairés.
https://fr.unesco.org/events/journee-internationale-femmes
http://www.unesco.org/new/fr/unesco/events/unesco-house/?tx_browser_pi1%5Bplugin%5D=54773&tx_browser_pi1%5BshowUid%5D=44199&cHash=387f4f4ac3
René Daudan dans la presse
Du côté du Web et de l’informatique agricole
Cette semaine, Guy Waksman retransmet notre article sur Michel Boudaud.
Par ailleurs, une publication a retenu notre attention:
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Michel Boudaud communique
VOUS DIRE QUE C’EST BEAU, BOUDAUD
Dès ses premiers mots, nous nous savons partir en pays de pure poésie, poésie rurale, campagnarde, si vous voulez, mais poésie. Le regard et le chant de Michel Boudaud s’attardent volontiers sur les paysages, les bosquets, les sentiers, le temps qui change. La terre nourricière féconde en profondeur ses chansons. Ça et l’âme. Homme de culture, Boudaud sait mieux que quiconque les mots pour le dire, le décrire. Poète paysan, on a envie de voir en lui comme la survivance d’un Gaston Couté. Et c’est vrai, aussi sûrement qu’il y a en lui du Philippe Forcioli, du Philippe Geoffroy. Et Beaucarne et Bertin. Tant de références devraient vous dire la qualité du bonhomme.
Boudaud prolonge son sillon parfois plus loin que la terre qui l’a vu naître, « au-delà de la mer, au-delà des baleines » : le poète a toujours raison, qui voit plus loin que l’horizon. Parfois grondent les vagues mais il n’est pas sûr que ce soit l’océan, plus sûrement la colère des hommes qui défilent dans la rue, vue par le fenestron de la télévision. Car, dans le calme apparent de ses vers, coule la vie et ses tourments.
Il faut n’offrir aucune résistance à Boudaud, partir avec lui sur ses portées. Même les paroles deviennent musique, mélodies légères qui, comme le ferait la caresse du vent, bousculent la typographie soignée d’une écriture sereine et audacieuse à la fois.
Boudaud termine sa prestation par un inédit, un rien surprenant car farfelu, de Jacques Bertin. On se dit que la boucle est joliment bouclée.
Michel KEMPER (nos enchanteurs)
Prochain concert avec Alice à l’accordéon et Alain à la guitare
Dimanche 22 Avril à 20 heures
Le Bignon (Chez Fabienne et Claude Marcadé)
53400 BOURGON (Res. 02 43 01 81 06 06 71 70 09 38 )
A bientôt Michel
Du côté du Web et de l’informatique agricole
Cette semaine dans le journal en ligne de l’AFIA:
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Pour recevoir cet hebdomadaire par mail il suffit de s’y abonner: http://www.informatique-agricole.org/efitas-newsletter-subscription/
Salon de l’agriculture
Chers adhérents,
J’ai le plaisir de vous informer que l’AEAP sera présente au Salon de l’Agriculture
Le samedi 4 mars
Sur 2 stands:
- HALL 4, Allée B, stand 64 Sur le stand de l’Enseignement agricole public (APREFA) (Merci Claude)
- HALL 1, Allée D, stand 053 du Mouton Vendéen (Merci Daniel)
Sur ces 2 stands, nous disposerons d’une table pour dédicacer nos livres. Chaque auteur qui le souhaite pourra y amener ses ouvrages. Aucune contribution financière ne sera exigée.
N’oubliez pas d’y inviter vos lecteurs par vos propres circuits de diffusion.
A bientôt
La vie agricole: concours d’écriture
Du côté du Web et de l’informatique agricole
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Concert de René Daudan à Colonne (Jura)
Amis écrivains et artistes paysans,
Pour un retour au pays natal, je donnerai un récital de poèmes et chansons
à COLONNE ( jura ) le 16 Février à 20h, salle des fêtes.
Présentation de mes deux livres :
- Pour l’odeur immédiate du foin
- Du temps dans son gousset vide
René Daudan
Appel à participation
Engagée dans une réflexion collective sur l’avenir du monde rural, l’AEAP a décidé de s’ouvrir à des idées diverses et variées en accueillant des membres sympathisants, même s’ils ne sont ni écrivains ni paysans.
Si vous aimez la campagne, si vous cultivez votre jardin, si vous appréciez les produits du terroir, si l’avenir de notre planète vous intéresse, si vous pensez que les valeurs attachées à la terre doivent être enseignées, n’hésitez pas à nous rejoindre en envoyant votre cotisation de 15 € à notre trésorier Daniel Esnault, 22 Rue de l’Ecolière, 85 690, Notre-Dame-de-Monts
Cela vous permettra :
– de recevoir notre journal annuel : Le Lien des écrivains paysans.
– de recevoir le programme de nos congrès annuels qui se déroulent sur 4 jours, une fois par an, dans une région différente : visites agricoles et culturelles, conférences, soirées festives, et surtout convivialité…
– de participer à ces congrès
– d’être abonné à notre blog afin de recevoir les dernières nouvelles de l’association en temps réel : participations aux manifestations, publications, nouvelles adhésions…
– mais surtout de soutenir notre action et d’encourager les écrivains et artistes paysans dans leurs œuvres.
Merci d’avance pour votre participation,
Du côté du Web et de l’informatique agricole: Marcel Grelet
Cette semaine c’est Marcel Grelet qui est mis à l’honneur sur le site de Guy Waksman:
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Information sur nos publications
En cliquant sur READ MORE vous serez directement dirigés sur l’article dans sa totalité. Les messages intitulés NO REPLY… sont des messages automatiques envoyés par notre serveur pour prévenir nos abonnés de chaque nouvelle publication sur notre blog. L’AEAP n’a pas fait le choix de l’anglais, il lui est imposé par WORDPRESS (qui héberge notre blog) en échange d’une bonne visibilité sur les moteurs de recherche. NEW POST signifie: nouvelle publication.
Si vous souhaitez ne plus recevoir ces messages, il vous suffit de me le faire savoir: jbellino@neuf.fr ou, plus simplement, de cliquer sur UNSUSCRIBE HERE tout en bas du message.
Merci
Concours de nouvelles
XXXe Concours francophone de la nouvelle L’encrier renversé/Ville de Castres/Communauté d’agglomération de Castres-Mazamet
Article premier ? La revue de nouvelle L’encrier renversé et la Ville de Castres organisent en coopération avec la Communauté d’agglomération de Castres-Mazamet leur 30e concours francophone de nouvelle. Il sera ouvert du 1er janvier au 15 mai 2018. Le Crédit agricole Nord-Midi-Pyrénées en est le partenaire.
Article 2 ? Le concours est ouvert à tous les auteurs francophones résidant en France ou à l’étranger. Aucun thème n’est imposé. La participation est libre.
Elle est gratuite :
— pour les abonnés à L’encrier renversé [cf. encrierrenverse.canalblog.com] ; — pour les participants qui commanderont le numéro « concours » 2018 [10 €] ; — pour les moins de 18 ans, qui auront à fournir la copie d’un document d’identité accompagnée d’une autorisation de participation signée de leur représentant légal ; — pour les candidats domiciliés hors France métropolitaine, Corse et Monaco.
Pour les autres candidats la participation au concours est fixée à 5 € [chèque établi à l’ordre de L’encrier renversé].
Les membres des jurys et les organisateurs ne sont pas autorisés à concourir.
Article 3 ? Chaque auteur ne peut envoyer qu’une seule nouvelle.
Le manuscrit sera dactylographié en quatre exemplaires. La nouvelle ne devra pas excéder 22 500 signes, soit 15 pages [déf. du signe : lettre, chiffre, signe de ponctuation, symbole ou espace entre mots].
Les pages seront simplement reliées par une agrafe, sans spirale, sans couverture ni réglette.
Les nom et adresse de l’auteur seront inscrits sur une feuille indépendante. Dès réception un codage garantissant l’anonymat du candidat sera effectué. L’emploi d’un pseudonyme est autorisé. Les manuscrits non retenus ne seront pas renvoyés aux auteurs mais détruits.
Article 4 ? La nouvelle proposée ne devra jamais avoir été publiée, quel que soit le support [recueil, revue, journal, autoédition, Internet, etc.], à la date de parution du numéro « concours » de L’encrier renversé [1er trimestre 2019].
Article 5 ? Les manuscrits seront adressés du 1er janvier au 15 mai 2018 minuit [cachet de la poste faisant foi] à l’adresse postale suivante :
L’encrier renversé (concours de nouvelle), 9, hameau En Priou, 81580 Cambounet-sur-Sor (France) Les auteurs résidant en Occitanie devront en outre adresser une version numérique de la nouvelle (sous format Word, OpenOffice ou LibreOffice) par courriel à : ngfencrier@gmail.com Aucun avis de réception ne sera envoyé.
Article 6 ? Le concours est doté de quatre prix :
— le premier prix [prix de la Ville de Castres/L’ER] doté d’un montant de 1 000 euros est offert par la Ville de Castres ; — le deuxième prix doté d’un montant de 300 euros est offert par L’encrier renversé ; — le prix du Public doté d’un montant de 500 euros est offert par la Communauté d’agglomération de Castres-Mazamet. Il récompensera l’un des auteurs participants résidant en Occitanie. Le jury de présélection sera composé des membres du personnel du Réseau médiathèques de la Communauté d’agglomération de Castres-Mazamet. Le grand jury sera composé des lecteurs du Réseau des médiathèques de la Communauté d’agglomération de Castres-Mazamet.
— le prix Lycéens doté d’un montant de 150 euros est offert par le Crédit agricole Nord-Midi-Pyrénées à l’un des auteurs finalistes choisi par des élèves du lycée de la Borde-Basse de Castres et du lycée Maréchal-Soult de Mazamet.
Les dix premiers textes ainsi que ceux des lauréats du prix du Public et du prix Lycéens seront publiés dans le numéro « concours » 2018 de L’encrier renversé. Leurs auteurs recevront deux exemplaires de ce numéro.
Article 7 ? Pour le prix de la Ville de Castres/L’ER, un premier jury composé des membres de L’encrier renversé et de jurés choisis par la rédaction opérera une sélection de nouvelles après lectures [chaque manuscrit est lu par quatre jurés].
Une deuxième sélection de 10 à 20 nouvelles sera ensuite proposée au jury final. Celui-ci classera les textes retenus du 1er au 10e.
Le jury final sera composé de Lodewijk Allaert (lauréat 2009), Gérard Bastide (lauréat 1998), Catherine Béchaux (lauréate 2012), Michel Burlot (lauréat 1993), Chantal Célotti (lauréate 2003), Jean-Claude Chabel (lauréat 1997), Patricia Chauvin-Glonneau (lauréate 1999), Thierry Covolo (lauréat 2015), Annick Demouzon (lauréate 2013), Pierre Denizet (lauréat 2016), Mireille Félix (lauréate 2001), Pierre Hanus, Patrick Larriveau (lauréat 2006), Julie Matignon (lauréate 2008), Virginie Mouligneaux (lauréate 2017), Françoise Provini-Sigoillot (lauréate 2000), Christiane Rolland-Hasler (nouvelliste et critique), Wernicke (lauréate 2014), de plusieurs élus et représentants de la Ville de Castres, d’un représentant de la Communauté d’agglomération de Castres-Mazamet, d’un représentant du Crédit agricole Nord Midi-Pyrénées et du comité de rédaction de L’encrier renversé.
Article 8 ? Les prix seront remis à la médiathèque de Castres en mars 2019. Seuls les lauréats résidant sur le territoire métropolitain, invités par la Ville de Castres, devront être obligatoirement présents pour recevoir leurs prix.
Les candidats dont les nouvelles seront sélectionnées pour le jury final seront avertis avant le 31 juillet 2018, les lauréats du prix du Public et du prix Lycéens seront prévenus fin décembre 2018.
Article 9 ? Aucun recours fondé sur les conditions de déroulement du concours ou ses résultats ne sera admis. La participation au concours implique de fait l’acceptation totale et sans réserve du présent règlement.
Le seul fait de présenter une œuvre au concours sous leur nom implique pour les participants qu’ils garantissent en être bien les auteurs.
Les organisateurs se réservent le droit de modifier ou d’annuler ce concours si des circonstances extérieures les y contraignaient.
des.ramanich@neuf.fr Ramanich
Du côté du Web et de l’informatique agricole
Au menu de cette semaine:
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http://www.informatique-agricole.org/adherer-maintenant-a-lafia/
Michel Boudaud en concert
Salon de l’agriculture 2018
L’AEAP sera présente au Salon de l’agriculture
Le samedi 3 mars
Bâtiment 4, Allée B, stand 64
Sur le stand de l’Enseignement agricole public (APREFA)
Marc Boutin nous conseille
Notre adhérent Marc Boutin, malgré son âge est un membre très actif de notre association qu’il informe régulièrement des évènements qui ont lieu dans le Nord de la France et des réflexions qui l’ont intéressé.
Il nous conseille:
Le Film LE CHAMP DES POSSIBLES
A revoir sur You Tube: Le Champ des possibles
A rechercher sur France 5 : Le Monde en marche
Le livre LA Ferme aux 1000 terroirs, Editions Chêne,
d’Olivier Nouaillas.
L’article dans La vie Réinventer l’Agriculture.
Merci pour ce partage
Le Lien des écrivains et artistes paysans – Janvier 2018
Notre bulletin annuel vient de paraître et vous pouvez le consulter sur notre site internet dans la rubrique publications.
www.ecrivains-paysans.com/publications
Ce numéro consacre une large place au lien intergénérationnel entre écrivains-paysans et élèves de lycée agricole, à travers le concours d’écriture réalisé à St-Maximin (83)
Du côté du Web et de l’informatique agricole
Merci à Monsieur Guy Waksman de présenter notre association dans le N° 2 de son hebdomadaire qui compte 28000 abonnés, auquel je vous conseille vivement d’adhérer si vous voulez recevoir par mail régulièrement des informations complètes sur notre agriculture.
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Merci par ailleurs d’apprécier notre bulletin
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De la part de Michel Boudaud, paysan-chanteur-poète vendéen
Une réflexion (qui n’engage que lui) que Michel Baudaud nous fait partager et qu’il nous invite à commenter. Ne vous en privez pas!
D’Ormesson et Hallyday.
« J’endors mes sons ! » Il parait que ce sont les dernières paroles de Johnny Hallyday, en hommage à son malheureux prédécesseur ! Au- delà du jeu de mot un peu facile, il m’est, par contre un peu difficile de comprendre l’idolâtrie des foules pour ce chanteur qui n’avait, à mon avis, que d’exceptionnelles qualités vocales et scéniques, mais n’a jamais rien écrit ni ébauché , voire témoigné d’une philosophie de vie qui puisse être une éventuelle référence. Au contraire, il a amassé une fortune (en grande partie évadée fiscalement !) sur le dos du peuple, en échange du droit au rêve et à des tonnes d’esbroufe amenées par camions entiers. Est-ce de cela qu’on a le plus besoin aujourd’hui ?
Evidemment, il faut des chansons pour faire la fête, mais aussi, comme dans la littérature, le cinéma ou le théâtre, il y a des chansons qui racontent des histoires, des événements, qui éveillent et magnifient des sentiments, bref des chansons de paroles auxquelles on peut souvent ajouter le qualificatif de « poétiques » quand les mots choisis ou leur agencement entre eux provoquent d’eux-mêmes de l’émotion. Hélas, il faut remonter à l’époque des Brel, Brassens, Ferré, Ferrat, Barbara ou Leclerc pour entendre sur les ondes ce genre de chansons qui ont pourtant « élevé » plusieurs générations !Le cinéma, en France, même dans sa diversité, est d’un très bon niveau, avec des sujets pointus, ardus quelquefois, ardents souvent, pourquoi la chanson qui « correspond « à ce cinéma-là a-t-elle disparu des médias ?Pourquoi, quand il y a « besoin », dans une émission, d’une chanson belle ou sérieuse, ou explicite, il faut encore puiser dans ces répertoires précités ?
Est-ce que la source est tarie ? Est-ce qu’elle n’est plus audible parmi les décibels des orchestrations d’aujourd’hui derrière lesquelles on ne comprend qu’un mot sur quatre ? Pourtant, quand « ils »voient qu’on ne comprend pas, « ils » répètent dix fois la même chose ! Mais, quand on peut lire les paroles, on est souvent stupéfait du niveau de l’écriture, de la scansion…Par ailleurs, pour certains auteurs qui ont écrit des centaines de chansons, on peut se poser la question d’une production à la chaîne, tubulaire et adaptée au consommateur avec des refrains répétitifs, ( comme la pub, quoi !). Lors d’interview de ces artistes, « on » parle du nombre de C.D vendus, du « genre de musique, etc… mais souvent, rien sur le contenu, et pour cause ! ! Les médias ne sont-ils que des relais publicitaires à une production de masse et vide de sens ? (Delahousse recevant Vianney dans son journal, quel intérêt vraiment ?).Il faudrait une émission comme « Le masque et la plume »sur la chanson pour offrir aux auditeurs le répertoire contemporain le plus large possible et l’aider à un meilleur discernement. Utopique sans doute ? Les maisons de disques et les « ramasseurs » de droits d’auteur à la pelle veillent.
Pourtant, certains et certaines chantent encore des chansons qui ont du sens, qui veillent et émerveillent et que l’on peut même reprendre à son compte ! (Vous avez essayé de reprendre les chansons dites modernes ?) mais, les médias les ignorent, même quand ils meurent .( Quelle presse pour Allain Leprest, Luc Romman ou Jean Vasca par exemple ?)
« On » dit que si Brel et les autres arrivaient aujourd’hui, ils ne perceraient pas ! Cela pose question non ? Pourtant, Julos Beaucarne, Michelle Bernard, Philippe Forcioli, Bernard Joyet et tant d’autres ont fait des œuvres qui méritent d’atteindre les oreilles et les cœurs, sans faire grand tort aux chansons en tubes !
Non loin d’ici, la voix de Jacques Bertin (reconnu, à ses vingt ans comme successeur de Brel et Ferré ) : « Nous sommes peu nombreux à veiller-Nous repoussons de toutes nos forces le sommeil- Et la lampe nous fait les yeux brillants- Nous tenons la lampe allumée, nous ne vieillissons pas ! » …Et nous ne mourrons jamais ! Na !
L’AEAP présente dans « La France agricole »
Jacqueline Bellino préside l’Association des écrivains et artistes paysans depuis quatre ans. Elle l’a découverte au Salon de l’agriculture 2006. Créée en 1972, l’AEAP rassemble une centaine de personnes : écrivains, peintres, sculpteurs, compositeurs… de toute la France. Aujourd’hui, l’association souhaite tisser des liens avec l’enseignement agricole et continuer à valoriser le lien de l’homme à la terre. Elle lance un appel à textes aux paysans du monde.
En savoir plus : www.ecrivains-paysans.com ou www.jacquelinebellino.com

La France agricole
http://www.lafranceagricole.fr/le-mag/des-rameaux-ala-plume-1,2,2463588628.html
L’AEAP citée dans le dernier numéro de La France agricole
Meilleurs vœux pour 2018
Je vous souhaite des mots doux comme le miel des abeilles,
Des phrases aussi puissantes qu’un bon vin,
Des pages aussi légères qu’un vol de mouettes derrière la charrue,
Des chapitres à l’ardence de l’huile d’olive,
Des livres lourds et riches comme les sacs de blés engrangés avec soin.
Je vous souhaite des farandoles de notes, ciseaux, pinceaux, crayons… s’égayant dans les sillons ensemencés, les champs ondulants sous la moisson, les vignes vendangées et les moulins gorgés d’huile.
Bonne et heureuse année à tous les écrivains et artistes paysans,
Jacqueline Bellino
Joyeux Noël
Un nouveau livre de Claudie Mothe-Gauteron: OSWALD 1939-1945
Claudie finit l’année en beauté avec la parution de son nouveau livre: OSWALD 1939-1945, Lou barricaïre et les réfugiés aux éditions Cheminements.
« Le 9ème ouvrage de Claudie Mothe-Gauteron se lit comme un roman, une ode à l’entraide sans laquelle la vie n’aurait été possible en ces temps troublés. »
Bravo Claudie et bonne chance à ce petit dernier!
Michel Boudaud en concert
Les éditions des lisières communiquent
Clément Mathieu a de nouveau les honneurs de la presse
René Prestat, sculpteur-paysan
Des noces d’or pour notre écrivaine du Nord, Geneviève Lecocq-Lictevout
Festival du Livre de Mouans-Sartoux
Cette année encore l’AEAP a participé au début du mois à cette belle manifestation: le troisième salon littéraire de France au niveau de la fréquentation.
Nous y avons tenu un stand qui a permis de faire des rencontres enrichissantes, ouvrant notre association vers de nouveaux horizons possibles.
Nous avons animé pendant une heure un café littéraire sur le thème: Aller vers l’agriculture par idéal?
Nous nous sommes promenés à tour de rôle de conférences en dédicaces, de films en cafés littéraires, autour des nombreux stands.
Nous avons déjeuné dans le parc du château avec Madame la ministre de la culture, Françoise Nyssen, Edgar Morin, Guy Bedos, Frédéric Lenoir et bien d’autres…
Mais aussi et peut-être surtout, ce festival est un moyen de plus de renforcer nos liens entre nous en partageant trois jours de pure convivialité.
Merci à Lionel et Monique Brault pour leur accueil toujours aussi chaleureux.
Jacques Chauvin nous informe:
1°- Un groupe de chercheurs universitaires s’est constitué en 2010 et porte le nom de groupe Petites Paysanneries. En fait partie, Agnès Roche (Université d’Auvergne, Clermond-Ferrand), auteure de: Emile Guillaumin, un paysan en littérature (Cnrs éditions, 2006).
http://paysanneries.hypotheses.org/a-propos
Le groupe petites paysanneries est un espace d’interaction scientifique intergénérationnel qui a démarré en 2010, sous la forme d’échanges informels entre chercheurs, jeunes chercheurs et étudiants dans le cadre du Laboratoire Dynamiques sociales et recomposition des espaces (LADYSS, CNRS, Universités de Paris Ouest Nanterre, Paris 1, Paris 7 et Paris 8).
Le groupe puise une partie de ses ressources empiriques et théoriques dans la tradition pluridisciplinaire et ruraliste du LADYSS. Sur le plan international, il s’organise en réseau comptant des chercheurs du Nord et du Sud de la Méditerranée, tout en restant ouvert à d’autres espaces. L’ensemble de ces terrains constitue pour le Groupe un vivier social, expérimental et conceptuel.
Le choix de (re)découvrir les petites paysanneries méconnues/ignorées dans leurs configurations plurielles (historiques, sociales, économiques, géographiques, culturelles…) est un choix scientifique, politique et écologique.
C’est un choix scientifique construit dans une perspective pluridisciplinaire, multidimensionnelle, comparative et critique.
C’est aussi un choix politique qui cherche à saisir ces groupes sociaux de l’intérieur et à travers leur position dans le monde social, et ce, en tenant compte de leurs forces et leurs faiblesses, de leur situation de dominés et au regard de leurs conquêtes.
C’est enfin un choix écologique qui considère la question environnementale comme un champ d’observation, de débat et d’action inséparable de la question paysanne et de la problématique de l’inégalité d’accès et d’usage des ressources.
Coordonné par Michel Streith et Mohamed Raouf Saïdi, le GPP anime des séminaires et des journées de réflexion, ouverts à différentes générations de chercheurs et de professionnels investis dans la thématique. Le groupe s’emploie à publier et à diffuser les contributions, notamment dans le cadre d’une collection éditoriale « petites paysanneries ».
Le GPP n’exclut pas de s’engager dans des travaux de recherche contractuels, à l’exception des expertises et des études prospectives, dans la mesure où ce volet est élaboré collégialement dans une perspective pluridisciplinaire, multidimensionnelle et comparative et constitue, en outre, l’aboutissement pratique des interactions empiriques, théoriques et conceptuelles entre les membres du groupe.
Jacques Chauvin nous informe:
Amis Ecrivains-Paysans, je vous transmets l’information communiquée par l’association paysanne Les Gens de Cherves. Ils ont écrit :
« Nous y défendons l’intérêt qu’il y a à montrer aux enfants comment la force du vent était utilisée autrefois via les moulins à vent et aujourd’hui via les éoliennes »
Augustin Hérault, qui fut membre fondateur de l’AEAP, l’auteur du Meunier et le vent, du Meunier et les tourbillons, aurait aimé ce que font les Gens de Cherves. Aidons-les à faire aboutir leur beau projet en votant en ligne.
Jacques Chauvin
A nos adhérents, sympathisants et partenaires,
RAPPEL : Notre association a candidaté auprès de la Fondation EDF à travers le challenge « trophée des associations ».
Nous y défendons l’intérêt qu’il y a à montrer aux enfants comment la force du vent était utilisée autrefois via les moulins à vent et aujourd’hui via les éoliennes. Et comment, grâce à la farine que produisaient les moulins, on arrive à la cuisson du pain.
Le prix (1) qui pourrait nous être remis dépend de plusieurs critères, dont celui du nombre de soutiens que notre projet aura recueilli.
Ce soutien consiste simplement à voter en ligne pour notre projet, ce n’est pas une souscription.
En 5 jours, 108 internautes se sont manifestés… ce qui nous classe actuellement en 6ème position d’un classement qui comprend 52 participants, les autres participants ayant été mis en ligne un mois plus tôt que nous.
La clôture des votes est fixée au 5 novembre.
Nous vous invitons à prendre connaissance de notre projet et à le soutenir :
– En vous connectant sur https://fondation.edf.com/fr/node/8196
– En cliquant sur l’icône VOTER POUR CE PROJET
– En mettant vos nom, prénom et adresse mail dans la fenêtre qui s’ouvrira.
– En ALLANT CONFIRMER votre vote sur VOTRE MESSAGERIE
– En relayant cette demande à votre entourage.
(1) DOTATIONS – 52 prix seront remis pour un montant global de 490 000 € réparti comme suit : 10 Trophées dans chacune des 5 catégories dont 1 prix de 20 000 €, 1 prix de 15 000 €, 3 prix de 10 000 € et 5 prix de 5 000 € ; Le « Trophée du Public » d’un montant de 20 000 € ; Le « Trophée des Salariés d’EDF » d’un montant de 20 000 €.
Un nouveau titre pour Charles Briand: La Champagne crayeuse
Les Ecritures paysannes, de l’utopie à la réalité, par Chantal Olivier et Claude Chainon
Congrès 2017 de l’AEAP: un bon cru!
3 jours d’amitié et de partage pour une trentaine d’écrivains et artistes paysans à la découverte de la Provence verte, grâce à l’accueil particulièrement chaleureux des Editions Graines d’Argens.
Un congrès dont le moment fort aura été la remise des prix du concours d’écriture du lycée agricole de la Provence Verte, initié par Graines d’Argens, le lycée et l’AEAP. Avec la publication d’une sélection de 38 textes, tous plus émouvants les uns que les autres.
Michel Boudaud en concert
Notre nouvel adhérent Michel Boudaud, chanteur/compositeur ne sera pas des nôtres à notre prochain congrès, hélas!, car il prépare son prochain concert qui aura lieu le 30 septembre à Meung-sur-Loire (45) à 20H30 dans le cadre des journées » Gaston Couté ».
Les réservations se font à l’office du tourisme: 02 38 44 32 28
Nous lui souhaitons un beau concert et un public nombreux.
Les Ecritures paysannes, de l’utopie à la réalité, par Chantal Olivier et Claude Chainon
Nous l’attendions avec impatience, il sera présenté lors de notre congrès la semaine prochaine: un livre incontournable pour tous les écrivains paysans mais aussi pour tous ceux qui s’intéressent à la ruralité.
Chantal et Claude, il y a trois ans s’étaient lancé un défi: étudier la naissance et la progression de l’écriture paysanne à travers ses auteurs. Nous avions eu un aperçu de leur projet lors de leur conférence au congrès de Vendée il y a 2 ans. Nous allons enfin découvrir sa réalisation.
Félicitations aux auteurs mais surtout merci pour cet ouvrage de référence.